Bibliothèque Centrale de l'Université Assane Seck de Ziguinchor
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Auteur Siré Diedhiou |
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Influence de Parkia biglobosa (Jacq.) R. BR. ex G. Don et des amendements organiques sur le sol et le rendement du riz pluvial en Casamance (Sénégal). Thèse de doctorat / Jean Bassène / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor (2024)
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Titre de série : Influence de Parkia biglobosa (Jacq.) R. BR. ex G. Don et des amendements organiques sur le sol et le rendement du riz pluvial en Casamance (Sénégal) Titre : Thèse de doctorat : agroforesterie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Bassène, Auteur ; Siré Diedhiou, Directeur de thèse Editeur : Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor, 2024 Importance : 1 vol. (94 f.) Présentation : ill. couv, ill. en coul. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : Riz Parkia biglobosa Compost Biochar Sol Index. décimale : T.24AF3 Résumé : Le riz est l’un des aliments de base, essentiel pour la sécurité alimentaire au Sénégal. Il est la première source alimentaire de beaucoup de ménages ruraux en Casamance, qui notamment disposent de 42% des emblavures rizicoles du pays. La riziculture en Casamance est sujette à de nombreuses contraintes liées à la perte de fertilité des sols et aux changements climatiques, mais aussi à des problèmes anthropiques à travers des pressions drastiques sur les ressources naturelles. Face à ces entraves, il devient nécessaire d’établir des stratégies d’amélioration des sols à travers l’apport de matière organique accessible, mais également la préservation des arbres d’intérêt dans le paysage agraire contribuant ainsi à la préservation de l’environnement. C’est dans ce contexte que ces travaux de thèse ont été menés dans l’optique d’étudier l’effet de la présence de Parkia biglobosa et de l’apport de matière organique à forte valeur agronomique sur la productivité du riz et sur les caractéristiques du sol. Les objectifs spécifiques étaient : (i) de caractériser la végétation ligneuse dans les parcs à Parkia biglobosa en zone de riziculture ; (ii) d’étudier la décomposition de la litière de Parkia biglobosa et son effet sur la croissance et le rendement du riz ; (iii) de déterminer l’effet du couvert de Parkia biglobosa et des amendements organiques (compost et biochar) sur le sol et le riz en zone de vallée. Pour ce faire, trois activités ont été menées : (i) inventaire des ligneux des parcs à Parkia biglobosa en zone rizicole ; (ii) installation de dispositifs complètement randomisés en station pour examiner la décomposition et l’effet de la litière de Parkia biglobosa sur le riz ; (iii) installation de dispositifs par rapport au pied de Parkia (0 m, R/2, R et 2R) en milieu paysan pour suivre l’effet de la présence de Parkia biglobosa associé aux amendements organiques sur la productivité du riz et les paramètres physico-chimiques du sol. Il ressort des résultats, que Parkia biglobosa et Elaeis guineensis ont été les espèces les plus fréquentes, les plus abondantes et les plus dominantes ; et donc celles délibérément conservées par les producteurs dans les parcs rizicoles. Les gousses de Parkia biglobosa ont eu une décomposition beaucoup plus rapide, suivies des tigelles et des folioles (p < 0,001). Les apports de doses importantes de litière (1,42 t.ha-1 à 1,76 t.ha-1) ont abouti à des rendements en grain de plus de 65% significativement plus élevés (p = 0,0003) que le témoin (0,75 t.ha-1) sans apport de litière. En présence de Parkia biglobosa, les rendements du riz ont été significativement plus élevés (3,7 t.ha-1, p = 0, 047) au niveau des parcelles situées à la distance R/2-R du houppier. Toutes les formules d’amendements (compost et biochar) testées ont surpassé à plus de 53% le témoin non amendé en termes rendement du riz en présence de Parkia ou dans la zone sans arbre. Les constituants du sol tels que la matière organique, l’azote et les bases échangeables ont été plus élevés dans les parcelles situées sous Parkia biglobosa et dans celles amendées comparées aux parcelles témoin non amendées (1,34% M, 0,12% N, 3,2 meq.100g-1 Ca2+, 1,2 meq.100g-1 Mg2+, 0,025 meq.100g-1 Na+, 0,45 meq.100g-1 K+). Ces aspects laissent entrevoir que Parkia biglobosa, présente dans les parcelles rizicoles n’est par un facteur limitant pour une bonne croissance du riz. Tout au contraire, associée avec le compost et le biochar, elle améliorerait substantiellement la fertilité des sols et par conséquent la croissance et le rendement du riz. En ligne : https://rivieresdusud.uasz.sn/handle/123456789/2305 Influence de Parkia biglobosa (Jacq.) R. BR. ex G. Don et des amendements organiques sur le sol et le rendement du riz pluvial en Casamance (Sénégal). Thèse de doctorat : agroforesterie [texte imprimé] / Jean Bassène, Auteur ; Siré Diedhiou, Directeur de thèse . - Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor, 2024 . - 1 vol. (94 f.) : ill. couv, ill. en coul. ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Riz Parkia biglobosa Compost Biochar Sol Index. décimale : T.24AF3 Résumé : Le riz est l’un des aliments de base, essentiel pour la sécurité alimentaire au Sénégal. Il est la première source alimentaire de beaucoup de ménages ruraux en Casamance, qui notamment disposent de 42% des emblavures rizicoles du pays. La riziculture en Casamance est sujette à de nombreuses contraintes liées à la perte de fertilité des sols et aux changements climatiques, mais aussi à des problèmes anthropiques à travers des pressions drastiques sur les ressources naturelles. Face à ces entraves, il devient nécessaire d’établir des stratégies d’amélioration des sols à travers l’apport de matière organique accessible, mais également la préservation des arbres d’intérêt dans le paysage agraire contribuant ainsi à la préservation de l’environnement. C’est dans ce contexte que ces travaux de thèse ont été menés dans l’optique d’étudier l’effet de la présence de Parkia biglobosa et de l’apport de matière organique à forte valeur agronomique sur la productivité du riz et sur les caractéristiques du sol. Les objectifs spécifiques étaient : (i) de caractériser la végétation ligneuse dans les parcs à Parkia biglobosa en zone de riziculture ; (ii) d’étudier la décomposition de la litière de Parkia biglobosa et son effet sur la croissance et le rendement du riz ; (iii) de déterminer l’effet du couvert de Parkia biglobosa et des amendements organiques (compost et biochar) sur le sol et le riz en zone de vallée. Pour ce faire, trois activités ont été menées : (i) inventaire des ligneux des parcs à Parkia biglobosa en zone rizicole ; (ii) installation de dispositifs complètement randomisés en station pour examiner la décomposition et l’effet de la litière de Parkia biglobosa sur le riz ; (iii) installation de dispositifs par rapport au pied de Parkia (0 m, R/2, R et 2R) en milieu paysan pour suivre l’effet de la présence de Parkia biglobosa associé aux amendements organiques sur la productivité du riz et les paramètres physico-chimiques du sol. Il ressort des résultats, que Parkia biglobosa et Elaeis guineensis ont été les espèces les plus fréquentes, les plus abondantes et les plus dominantes ; et donc celles délibérément conservées par les producteurs dans les parcs rizicoles. Les gousses de Parkia biglobosa ont eu une décomposition beaucoup plus rapide, suivies des tigelles et des folioles (p < 0,001). Les apports de doses importantes de litière (1,42 t.ha-1 à 1,76 t.ha-1) ont abouti à des rendements en grain de plus de 65% significativement plus élevés (p = 0,0003) que le témoin (0,75 t.ha-1) sans apport de litière. En présence de Parkia biglobosa, les rendements du riz ont été significativement plus élevés (3,7 t.ha-1, p = 0, 047) au niveau des parcelles situées à la distance R/2-R du houppier. Toutes les formules d’amendements (compost et biochar) testées ont surpassé à plus de 53% le témoin non amendé en termes rendement du riz en présence de Parkia ou dans la zone sans arbre. Les constituants du sol tels que la matière organique, l’azote et les bases échangeables ont été plus élevés dans les parcelles situées sous Parkia biglobosa et dans celles amendées comparées aux parcelles témoin non amendées (1,34% M, 0,12% N, 3,2 meq.100g-1 Ca2+, 1,2 meq.100g-1 Mg2+, 0,025 meq.100g-1 Na+, 0,45 meq.100g-1 K+). Ces aspects laissent entrevoir que Parkia biglobosa, présente dans les parcelles rizicoles n’est par un facteur limitant pour une bonne croissance du riz. Tout au contraire, associée avec le compost et le biochar, elle améliorerait substantiellement la fertilité des sols et par conséquent la croissance et le rendement du riz. En ligne : https://rivieresdusud.uasz.sn/handle/123456789/2305 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0200000112 T.24AF3 ex.1 Thèses Bibliothèque Centrale Thèse, Mémoire Exclu du prêt Effet du substrat et du type de gaine sur les paramètres de croissance de l'anacardier (Anacardium occidental L.) en pépinière. Mémoire de licence / Bamba Khouma / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor (2020)
Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0200000960 ML20AF34 ex.1 Mémoires Bibliothèque Centrale Thèse, Mémoire Exclu du prêt Effets comparés de l'urine humaine et d'engrais minéraux sur la croissance et le développement du maïs (Zea mays L.). Mémoire de master / Mbaye Fall / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor (2025)
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Titre de série : Effets comparés de l'urine humaine et d'engrais minéraux sur la croissance et le développement du maïs (Zea mays L.) Titre : Mémoire de master : agroforesterie Type de document : texte imprimé Auteurs : Mbaye Fall, Auteur ; Siré Diedhiou, Directeur de la recherche ; Djibril Sarr, Collaborateur Editeur : Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor, 2025 Importance : 1 vol. (27 f.) Présentation : ill. couv, ill. en coul. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : Urine humaine engrais minéral Croissance Maïs Zea mys L. Index. décimale : MAF25/7 Résumé : Pour une agriculture durable, l’utilisation de l’urine humaine pourrait s'avérer être une alternative aux engrais chimiques. L’objectif spécifique de cette étude d’évaluer l'efficacité de l'urine humaine comme fertilisant organique en comparaison avec des doses d’engrais minéraux sur la variété du maïs F1 VN 10. Ainsi, un essai a été mis en place à la ferme expérimentale du Département d’Agroforesterie de l’Université Assane Seck de Ziguinchor. Le facteur étudié est le « fertilisant » avec sept modalités : T0 (sans fertilisation), T1 (3 L d’urine/m2), T2 (2 L d’urine/m2), T3 (1 L d’urine/m2), T4 (450 Kg/ha de 15-15-15 et 150 Kg/ha d'urée), T5 (300 Kg/ha de 15-15-15 et 100 Kg/ha d'urée) et T6 (150 Kg/ha de 15-15-15 et 50 Kg/ha d'urée). Ces modalités sont arrangées dans un dispositif en blocs aléatoires complets avec 3 répétitions. La date d’ouverture des étamines, la hauteur des plantes, le diamètre au collet, le rendement de la biomasse aérienne sèche, le poids moyen d’un épi et le rendement en grains ont été mesurés. Les résultats obtenus révèlent qu’il n’existe pas de différences significatives entre la fertilisation à l’urine avec celle de l’engrais aux doses d’azote équivalentes sur la biomasse sèche aérienne, le poids moyen des épis, le rendement en grains, la date d’ouverture des étamines, et la taille des plantes. La forte dose d’urine (T1) et la forte dose d’engrais (T4) ont donné respectivement des rendements de 6,06 T/ha et 4,45 T/ha. Cependant, sur le diamètre au collet des plantes, la forte dose d’urine (T1) a donné de meilleurs résultats (18,66mm) que la forte dose d’engrais chimiques (T4). Dans le cadre de l’amélioration durable de la production, de la protection de l’environnement et de la préservation de la santé ainsi que du bien-être des consommateurs, l’utilisation de l’urine comme fertilisant pourrait être une alternative aux engrais minéraux. En ligne : https://rivieresdusud.uasz.sn/handle/123456789/2337 Effets comparés de l'urine humaine et d'engrais minéraux sur la croissance et le développement du maïs (Zea mays L.). Mémoire de master : agroforesterie [texte imprimé] / Mbaye Fall, Auteur ; Siré Diedhiou, Directeur de la recherche ; Djibril Sarr, Collaborateur . - Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor, 2025 . - 1 vol. (27 f.) : ill. couv, ill. en coul. ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Urine humaine engrais minéral Croissance Maïs Zea mys L. Index. décimale : MAF25/7 Résumé : Pour une agriculture durable, l’utilisation de l’urine humaine pourrait s'avérer être une alternative aux engrais chimiques. L’objectif spécifique de cette étude d’évaluer l'efficacité de l'urine humaine comme fertilisant organique en comparaison avec des doses d’engrais minéraux sur la variété du maïs F1 VN 10. Ainsi, un essai a été mis en place à la ferme expérimentale du Département d’Agroforesterie de l’Université Assane Seck de Ziguinchor. Le facteur étudié est le « fertilisant » avec sept modalités : T0 (sans fertilisation), T1 (3 L d’urine/m2), T2 (2 L d’urine/m2), T3 (1 L d’urine/m2), T4 (450 Kg/ha de 15-15-15 et 150 Kg/ha d'urée), T5 (300 Kg/ha de 15-15-15 et 100 Kg/ha d'urée) et T6 (150 Kg/ha de 15-15-15 et 50 Kg/ha d'urée). Ces modalités sont arrangées dans un dispositif en blocs aléatoires complets avec 3 répétitions. La date d’ouverture des étamines, la hauteur des plantes, le diamètre au collet, le rendement de la biomasse aérienne sèche, le poids moyen d’un épi et le rendement en grains ont été mesurés. Les résultats obtenus révèlent qu’il n’existe pas de différences significatives entre la fertilisation à l’urine avec celle de l’engrais aux doses d’azote équivalentes sur la biomasse sèche aérienne, le poids moyen des épis, le rendement en grains, la date d’ouverture des étamines, et la taille des plantes. La forte dose d’urine (T1) et la forte dose d’engrais (T4) ont donné respectivement des rendements de 6,06 T/ha et 4,45 T/ha. Cependant, sur le diamètre au collet des plantes, la forte dose d’urine (T1) a donné de meilleurs résultats (18,66mm) que la forte dose d’engrais chimiques (T4). Dans le cadre de l’amélioration durable de la production, de la protection de l’environnement et de la préservation de la santé ainsi que du bien-être des consommateurs, l’utilisation de l’urine comme fertilisant pourrait être une alternative aux engrais minéraux. En ligne : https://rivieresdusud.uasz.sn/handle/123456789/2337 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0200000140 MAF25/7 ex.1 Mémoires Bibliothèque Centrale Thèse, Mémoire Exclu du prêt Etude de la descendance autofécondée d'une plante monosomique d'addition de Gossypium australe F. Muell sur G hirsutum L. : transmission du chromosome additionnel et caractérisation phénologique et agromorphologique. Mémoire de master / Mouhamed Goumballa / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor (2025)
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Titre de série : Etude de la descendance autofécondée d'une plante monosomique d'addition de Gossypium australe F. Muell sur G hirsutum L. : transmission du chromosome additionnel et caractérisation phénologique et agromorphologique Titre : Mémoire de master : agroforesterie Type de document : texte imprimé Auteurs : Mouhamed Goumballa, Auteur ; Siré Diedhiou, Directeur de la recherche ; Djibril Sarr, Collaborateur Editeur : Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor, 2025 Importance : 1 vol. (26 f.) Présentation : ill. couv, ill. en coul. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : Gossypium hirsutum Gossypium australe Coton Monosomic alien addition line Extra chromosome Glabrous phenotype Index. décimale : MAF25/9 Résumé : Les lignées monosomiques d'addition (LMA) sont des plantes issues de l'ajout d'un chromosome provenant d'une espèce donneuse au génome d'une espèce receveuse. Cette étude porte sur la descendance autofécondée d’une plante monosomique d'addition (G2IV-6) de Gossypium australe (espèce donneuse) sur Gossypium hirsutum (espèce receveuse). Le taux de transmission en autofécondation du chromosome surnuméraire a été évalué, et l'émergence d'un phénotype nouveau (caractère glabre), absent chez la LMA, a été observé. La couleur de la fleur et la pilosité ont été utilisées comme marqueurs morphologiques permettant d'inférer la constitution génétique des plantes. Le paramètre phénologique qu'est le ''nombre de jours avant floraison'' a été suivi. Les paramètres agronomiques que sont, le ''nombre de jours avant ouverture de la première capsule'', le ''nombre de capsules par plante'', et la ''production de coton-graine par plante'' ont été déterminés. Les tests du khi-deux réalisés ont permis de montrer que le caractère « glabre » est indépendant du chromosome additionnel (?2 = 2,121 ; P=0,145) et que la transmission de celui-ci n'est pas conforme avec les taux attendus (?2 = 20,4 ; P ? 0,001). L'analyse de variance révèle que le chromosome additionnel influence la date de floraison (P=0,001) et la production de coton-graine (P=0,042), sans affecter le nombre de capsules (P=0,0253) ni la durée avant ouverture des capsules (P=0,059). Concernant le phénotype « glabre » nouvellement apparu, il a été noté une influence notable sur le nombre de capsules (P=0,012) et sur la production de coton-graine (P=0,042). Ce caractère, observé chez 25 % de la descendance de G2IV-6, a été transmis à 100 % dans la deuxième génération (F2). Ces résultats suggèrent que le phénotype « glabre » est le résultat d'une introgression (incorporation) d'un fragment de chromosome de G. australe sur un chromosome de G. hirsutum. L’obtention de cette lignée d’introgression dérivée d’une LMA (LIDL) montre que l’utilisation des LMA est une stratégie qui peut être envisagée pour améliorer la principale espèce de cotonnier cultivé en utilisant la variabilité génétique présente chez les espèces sauvages. En ligne : https://rivieresdusud.uasz.sn/handle/123456789/2416 Etude de la descendance autofécondée d'une plante monosomique d'addition de Gossypium australe F. Muell sur G hirsutum L. : transmission du chromosome additionnel et caractérisation phénologique et agromorphologique. Mémoire de master : agroforesterie [texte imprimé] / Mouhamed Goumballa, Auteur ; Siré Diedhiou, Directeur de la recherche ; Djibril Sarr, Collaborateur . - Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor, 2025 . - 1 vol. (26 f.) : ill. couv, ill. en coul. ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Gossypium hirsutum Gossypium australe Coton Monosomic alien addition line Extra chromosome Glabrous phenotype Index. décimale : MAF25/9 Résumé : Les lignées monosomiques d'addition (LMA) sont des plantes issues de l'ajout d'un chromosome provenant d'une espèce donneuse au génome d'une espèce receveuse. Cette étude porte sur la descendance autofécondée d’une plante monosomique d'addition (G2IV-6) de Gossypium australe (espèce donneuse) sur Gossypium hirsutum (espèce receveuse). Le taux de transmission en autofécondation du chromosome surnuméraire a été évalué, et l'émergence d'un phénotype nouveau (caractère glabre), absent chez la LMA, a été observé. La couleur de la fleur et la pilosité ont été utilisées comme marqueurs morphologiques permettant d'inférer la constitution génétique des plantes. Le paramètre phénologique qu'est le ''nombre de jours avant floraison'' a été suivi. Les paramètres agronomiques que sont, le ''nombre de jours avant ouverture de la première capsule'', le ''nombre de capsules par plante'', et la ''production de coton-graine par plante'' ont été déterminés. Les tests du khi-deux réalisés ont permis de montrer que le caractère « glabre » est indépendant du chromosome additionnel (?2 = 2,121 ; P=0,145) et que la transmission de celui-ci n'est pas conforme avec les taux attendus (?2 = 20,4 ; P ? 0,001). L'analyse de variance révèle que le chromosome additionnel influence la date de floraison (P=0,001) et la production de coton-graine (P=0,042), sans affecter le nombre de capsules (P=0,0253) ni la durée avant ouverture des capsules (P=0,059). Concernant le phénotype « glabre » nouvellement apparu, il a été noté une influence notable sur le nombre de capsules (P=0,012) et sur la production de coton-graine (P=0,042). Ce caractère, observé chez 25 % de la descendance de G2IV-6, a été transmis à 100 % dans la deuxième génération (F2). Ces résultats suggèrent que le phénotype « glabre » est le résultat d'une introgression (incorporation) d'un fragment de chromosome de G. australe sur un chromosome de G. hirsutum. L’obtention de cette lignée d’introgression dérivée d’une LMA (LIDL) montre que l’utilisation des LMA est une stratégie qui peut être envisagée pour améliorer la principale espèce de cotonnier cultivé en utilisant la variabilité génétique présente chez les espèces sauvages. En ligne : https://rivieresdusud.uasz.sn/handle/123456789/2416 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0200000145 MAF25/9 ex.1 Mémoires Bibliothèque Centrale Thèse, Mémoire Exclu du prêt Effet du sol et du régime hydrique sur la germination et le développement d'une espèce ligneuse fourragère, Maytenus senegalensis (Lam). Excell au Sénégal. Mémoire de master / Yaye Thiaba Diop Sadio / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor (2024)
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Titre de série : Effet du sol et du régime hydrique sur la germination et le développement d'une espèce ligneuse fourragère, Maytenus senegalensis (Lam). Excell au Sénégal Titre : Mémoire de master : agroforesterie Type de document : texte imprimé Auteurs : Yaye Thiaba Diop Sadio, Auteur ; Joseph Saturnin Diémé, Directeur de la recherche ; Siré Diedhiou, Collaborateur Editeur : Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor, 2024 Importance : 1 vol. (48 f.) Présentation : ill. couv, ill. en coul. Format : 30 cm Langues : Français (fre) Mots-clés : Espèce ligneuse fourragère Germination Maytenus senegalensis lam Régime hydrique Sol Croissance Index. décimale : MAF24/12 Résumé : Maytenus fait partie des plantes les plus utilisées à des fins curatives. Il remplit des fonctions socio-économiques et écologiques importantes. Malgré les faveurs qu’il procure, le maytenus est confronté à une forte dégradation due aux facteurs anthropiques et climatiques. Cette étude a pour objectif de contribuer à une meilleure connaissance du fonctionnement biologique des systèmes sol-plante-microorganismes. Il s’agit de caractériser en premier lieu l’effet de Maytenus senegalensis sur les microorganismes et sur le sol. En second lieu caractériser l’effet des types de sol sur la germination des semences de Maytenus senegalensis. Et en dernier lieu étudier la croissance des plants de Maytenus senegalensis face aux variations des conditions édaphiques en milieu semi-contrôlées. Pour ce faire une analyse chimique et biologique des substrats sous et hors couvert a été faite. Ensuite, un premier essai a été réalisé pour voir comment se comporte le maytenus lors de sa germination dans ces substrats. Pour chaque substrat, on a 16 pots. Puis un second essai a été fait à l’aide d’un dispositif en bloc complétement randomisé avec quatre répétitions. Il comporte un seul facteur la fréquence d’arrosage. Ce dernier est composé de quatre modalités 1f/j (les parcelles sont arrosées chaque jour), 1f/2j (les parcelles sont arrosées une fois par deux jours), 1f/3j (parcelles arrosées une fois par trois jours), 1f/s (parcelles arrosées une fois par semaine). Il ressort des résultats que les graines semées sur le substrat sous couvert donnent les meilleurs résultats avec un taux de germination maximal qui avoisine les 64 %. Pour les paramètres de croissance, les fréquences 1f/j (0,143cm ± 0,0228) et 1f/3j (0,116cm ± 0,018) donnent les meilleurs résultats pour le diamètre. Pour la hauteur moyenne, ce sont ces mêmes fréquences qui donnent les meilleurs résultats et pour le nombre de feuilles les fréquences 1f/j ; 1f/2j et 1f/3j obtiennent les nombres les plus élevées avec respectivement (46 ± 1,69), (28,4 ± 0,634) et (16,9 ± 0,620) feuilles sur les différentes dates de mesure. En somme, les différentes analyses montrent que pour tous les paramètres de croissances les meilleurs résultats sont obtenus avec la fréquence 1f/j même si les autres fréquences ont des résultats acceptables excepté 1f/s. En ligne : https://rivieresdusud.uasz.sn/handle/123456789/2402 Effet du sol et du régime hydrique sur la germination et le développement d'une espèce ligneuse fourragère, Maytenus senegalensis (Lam). Excell au Sénégal. Mémoire de master : agroforesterie [texte imprimé] / Yaye Thiaba Diop Sadio, Auteur ; Joseph Saturnin Diémé, Directeur de la recherche ; Siré Diedhiou, Collaborateur . - Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor, 2024 . - 1 vol. (48 f.) : ill. couv, ill. en coul. ; 30 cm.
Langues : Français (fre)
Mots-clés : Espèce ligneuse fourragère Germination Maytenus senegalensis lam Régime hydrique Sol Croissance Index. décimale : MAF24/12 Résumé : Maytenus fait partie des plantes les plus utilisées à des fins curatives. Il remplit des fonctions socio-économiques et écologiques importantes. Malgré les faveurs qu’il procure, le maytenus est confronté à une forte dégradation due aux facteurs anthropiques et climatiques. Cette étude a pour objectif de contribuer à une meilleure connaissance du fonctionnement biologique des systèmes sol-plante-microorganismes. Il s’agit de caractériser en premier lieu l’effet de Maytenus senegalensis sur les microorganismes et sur le sol. En second lieu caractériser l’effet des types de sol sur la germination des semences de Maytenus senegalensis. Et en dernier lieu étudier la croissance des plants de Maytenus senegalensis face aux variations des conditions édaphiques en milieu semi-contrôlées. Pour ce faire une analyse chimique et biologique des substrats sous et hors couvert a été faite. Ensuite, un premier essai a été réalisé pour voir comment se comporte le maytenus lors de sa germination dans ces substrats. Pour chaque substrat, on a 16 pots. Puis un second essai a été fait à l’aide d’un dispositif en bloc complétement randomisé avec quatre répétitions. Il comporte un seul facteur la fréquence d’arrosage. Ce dernier est composé de quatre modalités 1f/j (les parcelles sont arrosées chaque jour), 1f/2j (les parcelles sont arrosées une fois par deux jours), 1f/3j (parcelles arrosées une fois par trois jours), 1f/s (parcelles arrosées une fois par semaine). Il ressort des résultats que les graines semées sur le substrat sous couvert donnent les meilleurs résultats avec un taux de germination maximal qui avoisine les 64 %. Pour les paramètres de croissance, les fréquences 1f/j (0,143cm ± 0,0228) et 1f/3j (0,116cm ± 0,018) donnent les meilleurs résultats pour le diamètre. Pour la hauteur moyenne, ce sont ces mêmes fréquences qui donnent les meilleurs résultats et pour le nombre de feuilles les fréquences 1f/j ; 1f/2j et 1f/3j obtiennent les nombres les plus élevées avec respectivement (46 ± 1,69), (28,4 ± 0,634) et (16,9 ± 0,620) feuilles sur les différentes dates de mesure. En somme, les différentes analyses montrent que pour tous les paramètres de croissances les meilleurs résultats sont obtenus avec la fréquence 1f/j même si les autres fréquences ont des résultats acceptables excepté 1f/s. En ligne : https://rivieresdusud.uasz.sn/handle/123456789/2402 Exemplaires (1)
Code-barres Cote Support Localisation Section Disponibilité 0200000142 MAF24/12 ex.1 Mémoires Bibliothèque Centrale Thèse, Mémoire Exclu du prêt Effets de la combinaison de fertilisants organiques et minéraux sur le rendement de la laitue(Lactuca sativa L.) en Basse Casamace. Mémoire de licence / Diariétou Diallo / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor ([2023])
PermalinkTests de germination de quelques espèces (Sesuvium portulacastrum, Blutaparon vermicularis(L), paspalum vaginatum, Eleocharis acutangula, Fuirena ciliaris et Hygrophila senegalensis) à potentialités phytoremédiatrices sur différents gradients de salinité . Mémoire de licence / Pape Malick Seck / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor (2023)
PermalinkComposition floristique et structure de la végétation ligneuse en zone rizicole dans la commune d'Enampore en basse Casamance : cas de Badiate Grand et d'Essy. Mémoire de licence / Amy Faye / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor (2022)
PermalinkEffets des amendements organiques(biochar et compost d'anacarde) sur la tolérance du riz(Oryza sativa L.) en Basse Casamance. Mémoire de licence / Mamadou Sène / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor (2022)
PermalinkEffet de substrat sous Parkia biglobosa(Jacq.) R. Br. Ex. G. Don et des amendements organiques (composte pomme d'anacarde et biochar) sur la croissance et la production du riz en station en Basse Casamance, Sénéga. Mémoire de licence / Mané Kao / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor (2023)
PermalinkInfluence de l'apport de Glomus fasciculatum et d'amendements organiques(Biochar et Compost d'anacarde) sur la production de la patate douce(Ipomoea batatas L.) en milieu salin. Mémoire de licence / Fatou Faye / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor (2022)
PermalinkEvaluation des effets de la fertilisation organo-minérale sur la croissance et le rendement d'une variété (ISRIZ 7) de riz (Oryza sativa L.) de bas-fond à la station de Djibélor (Basse Casamance). Mémoire de licence / Sékou Yaya Baldé / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor (2022)
PermalinkEffets de différents densités de semis sur la croissance du riz pluvial (Oryza sativa L.) en Basse Casamance (Sud-Ouest Sénégal). Mémoire de licence / Mbagnick Diouf / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor (2021)
PermalinkEffet du Biochar sur le compostage des ordures ménagères organiques. Mémoire de licence / Ibrahima Faye / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor (2020)
PermalinkEffets des amendements organiques sur la dynamique et la composition des espèces herbacées en milieu salin dans la commune d’Enampore en Basse Casamance (Sénégal), N°86. Thèse de doctorat / Yaya Diatta / Ziguinchor : Université Assane Seck de Ziguinchor
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